Et si la clé pour améliorer vos performances sur les réseaux sociaux n’était plus dans votre propre page, mais dans celle d’un média que votre audience connaît déjà ?
Face à la saturation des fils d’actualité, à l’évolution des algorithmes et à la méfiance croissante des utilisateurs envers la publicité classique, une nouvelle pratique se démarque : le social publishing.
Le principe est simple et puissant : au lieu de diffuser votre campagne sur vos propres réseaux sociaux, vous la diffusez via la page d’un média reconnu, qui possède déjà une communauté active, engagée et en affinité avec votre cible.
Exemple concret : plutôt que Dior fasse sa promo sur sa propre page Instagram, c’est Elle Magazine qui parle du parfum à sa place. Résultat ? Un meilleur taux d’engagement, une portée naturelle amplifiée, et surtout, une crédibilité éditoriale immédiate.
Les marques médias ont passé des années à fédérer des communautés solides sur Facebook, Instagram, TikTok, etc. Elles ont une voix, une légitimité, un ton de confiance. Et surtout, elles connaissent les codes de chaque plateforme. En s’appuyant sur elles, les marques bénéficient d’un effet de levier puissant :
– Jusqu’à +20 % d’engagement constaté sur certaines campagnes
– Un coût par clic divisé par deux
– Une visibilité boostée dans un environnement de qualité
Ce n’est plus seulement de la publicité : c’est une recommandation éditoriale, avec tout le poids que cela implique.
Le social publishing coche toutes les cases d’une stratégie social media moderne :
– Il maximise la performance publicitaire grâce à des formats natifs mieux intégrés.
– Il répond aux exigences croissantes en brand safety, en garantissant une diffusion dans des environnements maîtrisés.
– Il renforce la légitimité des messages, en s’appuyant sur des marques de presse premium, déjà connues du public.
Pour les secteurs sensibles comme le luxe, la cosmétique ou la banque, où chaque mot compte et où chaque image doit être irréprochable, c’est une opportunité à ne pas négliger.
Côté annonceurs : plus de clics, plus de visibilité, plus d’engagement.
Côté médias : un nouveau levier de monétisation durable. Jusqu’à 15 % des investissements publicitaires peuvent être reversés aux éditeurs dans le cadre de ces campagnes. De quoi offrir un véritable second souffle économique à des titres qui peinent encore à tirer profit de leur puissance sur les réseaux sociaux.
Publicis Media, qui pilote cette innovation, ne cache pas ses ambitions : industrialiser le modèle, le rendre accessible à toutes les grandes marques, et inscrire cette méthode dans le cœur des stratégies social media à long terme. Déjà, de nombreux groupes ont rejoint l’aventure : CMI, Prisma, Figaro, Reworld, BeIn Sports… et les autres suivront.
Chez PROSPECTIV*, nous pensons que l’écosystème digital évolue trop vite pour rester sur les modèles d’hier. Le social publishing incarne parfaitement cette transformation : plus agile, plus performant, plus intelligent.
Vous vous demandez si ce levier est fait pour vous ? Si vos campagnes pourraient gagner en impact avec ce format ? Parlons-en.